Ce n’est pas parce qu’on est végane qu’on ne peut pas profiter du temps des sucres! De plus en plus d’érablières offrent des menus entièrement ou en partie véganes. D’autres encore ont concocté des cartes végétariennes à partir desquels les véganes peuvent se composer une généreuse assiette. Car ne l’oublions pas, la clé de voûte de tout repas de cabane à sucre – le fameux sirop d’érable – est 100 % végane! Voici donc notre sélection des meilleures cabanes à sucre véganes à ajouter à votre carnet d’adresses.
La Cabane à Tuque, c’est le rêve de tout Québécois végane! Le menu, entièrement végétalien, affiche des versions repensées des recettes traditionnelles: soupe aux pois, cretons, fèves “pas de lard” et, bien sûr, tire sur la neige. Autre point positif: l’érablière est écologique puisqu’elle a été construite à partir de matériaux naturels ou recyclés. Du début du mois de février à la fin d’avril, on s’y rend en petit ou grand groupe (l’endroit peut d’ailleurs accueillir jusqu’à 35 personnes) afin d’y vivre une expérience rustique et végane à son meilleur!
La Pause Sylvestre offre une expérience plus intime: avec 22 places, cette toute petite cabane nous laisse déguster un repas végétarien dans un décor douillet et féérique. L’érablière tenue par Mario Tremblay et Carole Bouthillette place les protéines végétales au coeur de ses créations culinaires. Pour y déguster un succulent repas végétalien, on fait appel à nos amis, parce qu’il faut louer la cabane en entier pour avoir droit à un menu totalement végane. On se le tient pour dit: la choucroute maison, les betteraves marinées, les crêpes de sarrasin et beaucoup de sirop d’érable donnent littéralement l’eau à la bouche. Mais attention: mieux vaut appeler d’avance pour y réserver sa place car même sans site web, La Pause Sylvestre connaît un retentissant succès.
Bien qu’elle soit réputée pour son menu « carnivore », la luxueuse cabane Sucrerie du Domaine offre des alternatives végétaliennes qui ne passent pas inaperçues. Tourtière, cretons et fèves au lard y sont répliqués de délicieuse façon, pour le plus grand plaisir des véganes. Refusant les compromis, les propriétaires ont mis trois ans à élaborer leur menu. Pour trouver grâce à leurs yeux, les plats devaient se rapprocher le plus possible des saveurs originales, avec des textures moelleuses et onctueuses. En guise de dessert, les becs sucrés peuvent choisir entre un pouding chômeur, une tarte au sirop d’érable pur et de la tire d’érable sur la neige. Miam!
Le Domaine Labranche est une destination sucrée ayant tout pour plaire à celles et ceux qui ont des restrictions alimentaires. On y offre cinq menus : traditionnel, végétarien, végétalien, sans gluten et sans lactose. Ainsi, tout le monde peut profiter pleinement du repas! Au menu végane, on retrouve entre autres des cretons végétariens et un tofu brouillé au sirop d’érable. On déguste notre repas dans une atmosphère conviviale et chaleureuse avant de sortir se sucrer le bec de tire sur la neige. Un pur délice!
L’érablière Val des Rosacées, située au cœur de la région vallonnée de St-Joseph-du-Lac, tout près de Mirabel, accueille avec panache les adeptes de cabane à sucre en tous genres. En marge du menu traditionnel, on y propose des options végétariennes, en grande partie véganes. Mis à part le brie fondant et l’omelette, le reste du menu salé est végane. Et difficile de ne pas craquer d’emblée pour les célèbres “bines à Line”, le jambon végane et, bien sûr, les saucisses GUSTA! Chaque semaine, une énorme salade de fruits est préparée pour la clientèle végane… Et on prend soin d’y saupoudrer du sucre d’érable. Il y en a donc pour tous les goûts et – parole d’honneur – on en redemande!
Force est de constater qu’il existe de plus en plus d’alternatives pour les véganes au bec sucré. Les érablières s’adaptent à la demande changeante de leur clientèle et on les applaudit! Car cette délicieuse tradition québécoise a tout pour plaire au plus grand nombre.
Et de retour en ville, on prolonge le plaisir à la maison avec notre recette de tourtière végane et son ketchup maison… Vive le temps des sucres!
Quand on adopte une alimentation végane, on doit ajuster dans la foulée nos habitudes culinaires, nos façons de faire… et (dans une certaine mesure) le contenu de notre garde-manger et de notre frigidaire! Quels sont les musts du véganisme, ces ingrédients de base qui permettent de cuisiner des recettes véganes goûteuses, variées et bluffantes? En voici la liste sommaire. Prêt(e)s? À nos stylos et tablettes!
Exit le miel, qui est directement le fruit du travail des abeilles, et le sucre blanc, dont les processus de blanchiment nécessitent parfois l’usage d’os d’animaux. Pour ravir notre dent sucrée et rehausser avec brio nos desserts sans mettre à mal le monde animal et environnemental, il existe tout un tas d’alternatives véganes succulentes. À inscrire sur notre liste d’épicerie:
Envie d’onctueux lattés ou de plats en sauce? On peut enrichir nos recettes de crème tout en laissant les vaches brouter tranquillement les champs, ou les chèvres bêler à leur guise dans les pâturages. Oui, oui! Car au lieu des produits laitiers animaliers, il suffit de se tourner vers les laits végétaux qui – en prime – sont exempts de lactose (donc, faciles à digérer). Des suggestions:
Le matin, sur des tartines grillées, les beurres de noix préparés sans produits laitiers sont à la fois nourrissants et décadents (beurre d’arachides, beurre d’amandes, beurre de pistaches, etc.). Même constat pour la margarine végane, à base entre autres d’huile d’olive: elle est délicieuse en plus de nous fournir un bon apport d’omégas-3. À consommer à froid (sur du pain) ou à utiliser pour la cuisson.
Le tofu ferme, haché, assaisonné et cuit dans un poêlon, ressemble à s’y méprendre aux œufs brouillés qu’on sert au petit-déjeuner ou en sandwich. Si on désire plutôt préparer des mousses et des meringues aériennes, il suffit de remplacer les traditionnels blancs d’œufs par l’eau contenue dans les conserves de pois chiches ou l’eau de leur cuisson (appelée aquafaba). La farine de pois chiches permet, quant à elle, de préparer de chouettes omelettes sans jaunes d’œufs. L’agar-agar est imparable pour obtenir des textures gélifiées. Sans oublier les flocons d’avoine et la poudre d’amidon, capables d’épaissir les sauces.
Ces denrées de base permettent d’adapter tout un tas de recettes classiques en recettes véganes. Il est donc recommandé de les ajouter à notre liste d’épicerie, pour en faire les piliers de notre garde-manger végé. Et voici un autre bon filon: s’arrêter au rayon frais de notre épicerie préférée afin de glisser dans notre panier des saucisses, rôtis, fauxmages, cretons et pâtés véganes GUSTA. Ça facilite la vie et la préparation des repas. Et c’est bon à s’en lécher les doigts! #VivementLeVéganisme
Crédit photo entête: Vegan Liftz
Chou-fleur par ci, chou-fleur par là… Depuis quelques saisons déjà, ce crucifère bouscule nos habitudes culinaires avec ses airs de légume à tout faire! Il vole la vedette sur les menus des restaurants les plus branchés et dans quantité de recettes variées. Car le chou-fleur a plus d’un tour dans son sac: c’est un légume qui se cuisine à toutes les sauces et qui prend nos papilles – et notre scepticisme ! – par surprise sitôt qu’il est broyé, assaisonné, grillé, etc. Plein feu sur les mille et un visages (et usages) du chou-fleur.
Le chou-fleur prend d’assaut les étals des marchés en automne et en hiver. De la famille des crucifères (comme le brocoli), on salue la polyvalence de ce légume qui reste craquant sous la dent quand on le croque cru, et qui s’attendrit sitôt qu’on le cuit. C’est aussi un précieux allié pour notre santé! Riche en vitamines C, B6 et B9, ainsi qu’en fibres, en sélénium et en manganèse, il est peu calorique, antioxydant, anti-inflammatoire et diurétique. Doux au goût, il se décline en trois variétés principales: le chou-fleur blanc, violet et orange. À noter : c’est quand ses fleurons sont bien serrés et fermes qu’il est recommandé de le manger… ou de le congeler!
Les nutritionnistes parlent du chou-fleur comme d’un superaliment, puisque consommé régulièrement (et préférablement cru), ce légume contribuerait à réduire les risques de cancer du poumon, du côlon, des reins et des ovaires. L’apport en vitamine C que procure le chou-fleur bouilli contribue quant à lui au maintien de dents, d’os et de cartilages sains. La vitamine B6 qui s’y trouve outille pour sa part au mieux le système immunitaire, et la B9 aide tant à la régénération cellulaire qu’à la cicatrisation des blessures.
Elle est révolue l’époque où l’on ne servait le chou-fleur que bouilli ou en trempette! Audacieux et ingénieux, les chefs cuisiniers aiment désormais bluffer leurs convives en exploitant le goût autant que la texture du chou-fleur, dans des créations 100 % véganes. Si bien que ce crucifère chéri est devenu un légume en vogue qu’on tranche, concasse, émiette et cuit à tout-va. Pas étonnant que des livres de recettes entiers lui soient dédiés… Et qu’à l’épicerie, au rayon du prêt-à-manger, on trouve désormais des pizzas en croûte de chou-fleur, des choux-fleurs frits ayant l’aspect de croquettes de poulet et même une panoplie de sauces à base de purée de chou-fleur! Caméléon et si bon, nous remercions le chou-fleur…
Les véganes aiment le chou-fleur dans tous ses états! Et ça se comprend: à cru, en papillote, sur le gril, poêlé, poché, réduit en purée ou cuit au four, ce crucifère « à tout faire » est bon en toute occasion. On lui fait une place dans notre assiette de juin à novembre, car c’est à cette période de l’année que le chou-fleur est cultivé partout au pays (le Québec produit d’ailleurs la moitié de toute la culture canadienne). Il suffit de laisser s’emballer notre imagination pour lui trouver de nouvelles vocations. Et histoire de vous faire saliver, voici nos suggestions: le gratiner avec le fauxmage Swisso, le servir en accompagnement du rôti de seitan Classico ou le transformer en pâte à pizza rehaussée de rondelles de saucisson Pizzaroni. À vos choux-fleurs. Prêts? Dégustez!
Quand le véganisme est l’objet de discussion, dans les 5 à 7 ou les soupers, certains mythes ont la couenne dure. Et à son sujet, on en entend souvent des vertes et des pas mûres! Passons au crible cinq idées préconçues qui font ombrage au mode de vie végane et départageons enfin le vrai du faux.
L’apport vitaminique et protéinique dont l’humain a besoin pour fonctionner ne se retrouve pas que dans la viande. Quand on adopte une alimentation végane et qu’on ingère chaque jour une juste combinaison de fruits, légumes, céréales (millet, quinoa, sarrasin, etc.) et légumineuses (pois chiches, lentilles, haricots, arachides, etc.), pas de carences en vue, ni de baisses d’énergie. Notre article intitulé « Quelles sont les meilleures sources de protéines végétales? » explore la question plus en profondeur.
Quand ils s’adonnent à d’intenses activités physiques, les sportifs dépensent une tonne d’énergie. Pour leur permettre de performer, les protéines arrivent en renfort. C’est un peu le carburant du corps: plus on avance à fond de train, plus il faut refaire le plein! Et pour soutenir le rythme des sportifs de haut calibre, les protéines végétales n’ont rien à envier aux animales. Pas convaincus? Sachez que l’ex-boxeur Mike Tyson et le pilote de Formule 1 Lewis Hamilton sont tous deux champions ET végétaliens.
En plus de délicieux fruits et légumes, l’alimentation végane regorge surtout de pâtes, de céréales et de légumineuses. Et en comparaison des produits laitiers, des viandes et des poissons, ces denrées se vendent à prix doux. Il est même possible d’en faire des stocks tellement elles se conservent longtemps!
Que nenni! Si les hippies ont été les parmi les premiers à plébisciter l’alimentation végétalienne, le portrait-type du végane s’est beaucoup diversifié depuis. Sportifs, acteurs, chanteurs et entrepreneurs bien connus sont adeptes du véganisme et pourtant pas granolas pour deux sous! On n’a qu’à penser à Woody Harrelson, Moby, Brad Pitt et d’autres, qu’on vous présente dans cet autre article de blogue.
Le véganisme est moins restrictif qu’on le croit. Entre légumineuses, céréales, pâtes, fruits et légumes, les véganes ont de quoi se remplir la panse. Même que de plus en plus de restos, marques et commerces proposent des menus et aliments végétaliens. Et pour peu qu’on cuisine ces derniers de façon inspirée (parcourez nos recettes originales), ils confondent les plus sceptiques. Un vrai délice!
Quand on creuse la question, on constate que le véganisme gagne à être mieux connu. Et on réalise, au passage, que l’alimentation végane a un petit je-ne-sais-quoi de séduisant… Désireux de vous tourner vers des saucisses, rôtis, burgers et fromages de composition végétale? Les produits GUSTA, faits au Canada, sont là! Découvrez-les ici et faites-en l’achat en épiceries.
GUSTA est végane par conviction, mais aussi par amour de la planète et de ses habitants. On est une entreprise québécoise consciencieuse et engagée, avec une vision d’avenir écologique et une réelle soif de développement durable. « Mais pourquoi, alors, vos saucisses, rôtis, fauxmages et autres produits sont-ils enrobés d’une pellicule plastique? », nous demandent souvent les consommateurs. Réponses claires et sensées à 3 questions qui vous brûlent les lèvres quant aux emballages GUSTA.
Pour donner forme aux produits GUSTA, on a opté pour la méthode du saucissier. En clair, ça signifie quoi? Tout simplement que les délicieux ingrédients qui entrent dans la composition des nos produits sont préparés, mélangés puis insérés dans une membrane de plastique, communément appelée boyau. Ce boyau tient lieu de récipient minimaliste car en plus de contenir les préparations, de donner forme aux produits et de permettre leur cuisson, il assure la mise en marché de ces derniers, sans recours obligé au suremballage ni au réemballage, ce qui réduit le gaspillage. Les produits GUSTA sont donc déposés tels quels (surplombés de notre adorable étiquette) sur les tablettes des épiceries: au final, c’est simple, facile et d’empreinte écologique minimale.
À l’usine, les procédés de fabrication GUSTA sont rôdés et réglés au quart de tour: la chaîne de production est efficace et fluide, et le gaspillage y est réduit à sa plus simple expression. L’ingénierie de tout ça a d’ailleurs nécessité un maximum de temps, de réflexion et de rigueur d’exécution. Seul bémol: nos procédés de fabrication actuels ne nous permettent pas encore d’avoir recours à des emballages 100 % recyclables. Il en existe bel et bien sur le marché, mais aucun d’entre eux ne nous permet à ce jour de réaliser l’intégralité de notre production avec le même packaging. Si bien qu’au lieu d’allonger indûment le processus de production des produits GUSTA en utilisant une membrane pour le moulage, une autre pour la cuisson des préparations et encore une autre pour la distribution, nous avons opté pour un boyau de plastique unique mais non recyclable. Cela dit, à titre d’entreprise alerte et agile, nous gardons toujours un œil sur les avancées technologiques en matière d’emballage plastique. Nous espérons donc pouvoir bientôt miser sur des procédés novateurs, à la fois performants et encore plus respectueux de l’environnement. C’est notre but ultime!
Certains consommateurs GUSTA ont le réflexe de déposer nos produits tels quels sur le BBQ, dans un poêlon, dans le four ou dans une marmite. Ce serait chouette et simple de pouvoir procéder ainsi… Mais quand on y réfléchit bien, le goût incomparable des préparations GUSTA ne serait alors pas au rendez-vous… Et soyons honnêtes: PERSONNE n’a envie de manger du plastique! Comme nos boyaux de plastique sont aussi directement manipulés lors du transport et du merchandising des produits GUSTA, il faut s’en départir au moment de cuisiner nos plats préférés. Mais bonne nouvelle: il n’y a rien de plus simple et rapide… quand on connaît la technique idéale, qui est ici expliquée, en son et en images!
Les membranes de plastique qui enrobent les produits GUSTA ont leur raison d’être à juste titre… et à plus d’un titre! Elles servent de boyaux de mise en forme et de cuisson, puis de pellicule d’emballage pour une mise en marché efficace des saucisses, rôtis, sticks, fauxmages, cretons et pâtés véganes GUSTA. Grâce à elles, le suremballage est laissé de côté et la planète est davantage préservée. D’une pierre, deux coups!
La scène gastronomique montréalaise est foisonnante. Les statistiques le prouvent: c’est dans la métropole québécoise qu’on retrouve le plus de restos per capita au Canada! Il y en a donc pour tous les goûts – et toutes les papilles! – à Montréal. Et les véganes ont de plus en plus l’embarras du choix. Suggestion de 6 restaurants véganes montréalais qui valent le détour. À table!
Situé sur le Plateau Mont-Royal, cet intime resto végétalien est – comme son nom l’indique – spécialisé dans la cuisine japonaise. Depuis 2014, le chef Christian Manuel Ventura Alatorre rivalise d’imagination pour surprendre sa clientèle avec des créations aussi belles à regarder que bonnes à croquer: sushis, poke bowls, tapas, soupes et salades asiatiques. C’est d’ailleurs dans cet établissement montréalais que la carte propose aux clients la variété la plus étendue de sushis végétaliens à Montréal. Qu’on ait la dent sucrée, salée ou épicée, on dégotera – à coup sûr! – chez Sushi Momo le maki ou le rouleau qu’il nous faut! Même les intolérants au gluten sont traités aux petits oignons, et ce, tous les soirs de la semaine à l’exception du lundi. On craque pour sa cuisine goûteuse et son ambiance chaleureuse.
Lov compte à ce jour 5 adresses: deux dans la métropole (centre-ville et Vieux-Montréal), une à Laval, une à Brossard et une à Toronto. Et slogan du restaurant est pour le moins éloquent: on y sert du bien-être! À preuve: dès qu’on pousse la porte de Lov, on s’y sent bien tellement le lieu est accueillant, beau et lumineux! Se qualifiant lui-même de fast fine (parce qu’on y propose un menu végane gourmand ET accessible), le resto nous fait saliver grâce à ses mets succulents, issus d’un savoir-faire collaboratif. Des ingrédients locaux sont ici apprêtés avec originalité et brio. Et le personnel, avenant à souhait, sait nous informer et nous conseiller au mieux. Pour les repas en amoureux ou entre copains, il n’y a pas mieux!
Il suffit de visiter la page Instagram du restaurant, pour tomber illico sous le charme… Car tout est alléchant chez Radis: la déco, les plats, l’approche et la philosophie de l’endroit. Les proprios – Dominic St-Pierre et Ève-Marie Gobeil-Beaucage – sont friands de vins et de mets italiens. Leur cuisine, 100 % végétalienne, fait la part belle aux produits locaux de saison mais transporte malgré tout nos papilles en Toscane, en Calabre, en Sicile ou en Ombrie. Et pour accompagner nos pizzas, pâtes, calzones, arancinis et tiramisus, la carte nous donne à boire des vins natures, biologiques et biodynamiques, bons jusqu’à la dernière goutte! On adore l’élégance décontractée de Radis et ses créations véganes inoubliables.
Lola Rosa, c’est à la fois un resto et un marché virtuel. Ses adresses de l’avenue du Parc, de la rue Milton et de la Place des Arts, à Montréal, nous accueillent pour des dégustations sur place ou des commandes pour emporter. Et son site web nous permet de créer notre propre panier de victuailles ou de magasiner l’une ou l’autre des boîtes signatures Lola Rosa. Végane à 100 %, le restaurant propose aux clients de s’alimenter différemment et sainement, tout en préservant l’environnement. Au menu: des entrées, des salades, des burgers et une variété de plats à partager… ou pas! Curri, chili, quesadillas, nachos et même poutine nous attendent au tournant. C’est réconfortant, convivial et idéal pour les repas en gang.
L’établissement se décrit lui-même comme « un projet dynamique tout frais ». Son ambition: tendre vers une façon de vivre plus soutenable dans la réalité urbaine de 2020. En clair, La Panthère Verte plébiscite le bio et l’agriculture de proximité, de façon à câliner la planète… tout en nous emplissant joliment la panse! Frais à souhait, son menu propose des salades, des falafels, des shawarmas, des burgers et des bols de toutes sortes (sans oublier des desserts à tomber par terre!), entièrement végétaliens. À consommer sur place ou à récupérer « sans contact » pour une dégustation maison.
Pionnier des restos véganes de la métropole québécoise, Aux Vivres est dans le paysage gastronomique depuis 1997 et dispose d’une enseigne à Westmount, puis d’une autre sur le Plateau Mont-Royal. Faisant toutes deux offices de restaurant et de boutique, on y retrouve des ingrédients, préparations et mets végétaliens archi frais. Car l’établissement se targue de rendre le monde meilleur, un repas à la fois. Tout ce qui figure sur le menu est d’origine végétale. Et ce n’est pas que sain et bon pour la planète: c’est aussi tellement délicieux! On aime ses jus, ses smoothies, ses bols, ses plats réconfortants… alouette! Fabrique à tempeh, compostage, programme de reboisement… Aux Vivres est un resto engagé pour un monde meilleur, et dont la réputation n’est plus à faire.
S’il est facile de s’approvisionner en produits véganes GUSTA dans les épiceries du Canada et de les cuisiner ensuite à toutes les sauces par l’entremise de nos recettes, il reste que certains midis et soirs, on a envie de prendre congé et de s’attabler à la salle à manger d’un restaurant. Ces adresses montréalaises – approuvées par notre équipe! – ont de quoi ravir les plus fins palais véganes. Et parions que de nouveaux restos végétaliens auront bientôt pignon sur rue à Montréal… À la prochaine!
Qui dit Colombie-Britannique pense aussitôt à verdure, grands espaces en nature et air pur. Il allait donc de soi que la scène gastronomique vancouvéroise soit à l’image de la province: empreinte de naturel, de fraîcheur et de pureté… au grand bonheur des végés! Plan rapproché sur trois restos véganes de Vancouver auxquels on a tous envie de s’attabler.
Ce repère végé joue sur les mots: on y va pour se rencontrer (meet)… et pour y manger autre chose que de la viande (meat)! Les trois restaurateurs qui l’ont fondé en 2013 ont voulu rendre le véganisme alléchant, accessible et abordable, pour ne pas dire carrément décadent. Ses trois adresses à Vancouver – Gastown, Yaletown et Main Street – servent de la cuisine réconfortante, dans une ambiance détendue et conviviale. Des exemples? Pensons à de la poutine nappée de sauce à base de noix de cajou, à des burgers de seitan à la bière, à du bacon de coco… On s’en lèche les babines et on s’en met plein la panse sans y laisser sa chemise! Qui dit mieux?
Voté numéro 1 au palmarès des restaurants vegan friendly compilé par Big Seven Travel, The Acorn célèbre – à travers son menu et sa carte des vins – les richesses de la terre, en rendant hommage aux producteurs, fournisseurs et créateurs locaux. Sa fine cuisine végétarienne et végane varie en fonction des arrivages saisonniers. L’offre est étoffée, la présentation des mets est soignée, le décor est raffiné et les cocktails artisanaux qu’on y sert sont à tomber. Le slogan de ce resto vancouvérois maintes fois primé est d’ailleurs éloquent: « Veggies for the win! » Et pour cause! Sous la gouverne et l’inventivité du chef Devon Latte, le radis, le concombre, le chou frisé et le champignon shiitake se dévoilent sous un tout nouveau jour, tant du point de vue des textures que des saveurs. Une expérience inoubliable.
Vancouver recèle de petits bijoux de restos asiatiques, tous plus typiques et uniques les uns que les autres. Et les véganes ne sont pas en reste! Quelques semaines à peine après son ouverture, Do Chay Saigon Vegetarian était déjà plébiscité par les gens du quartier! Niché sur Kingsway, ce resto propose une carte totalement végétarienne et presque entièrement végane. Concoctés dans le respect des traditions culinaires vietnamiennes, les plats ont somme toute un je-ne-sais-quoi de moderne. Car entre la salade de papaye, le satay de nouilles et les aubergines à l’ail, notre cœur balance… Une expérience gustative fraîche et sans prétention, qui fait la part belle à la cuisine de rue si populaire au Vietnam.
On adore s’approvisionner en produits GUSTA en épiceries: c’est pas compliqué à trouver, délicieux à goûter et simple à cuisiner. Mais les weekends, les midis ou les soirs où on en a soupé de popoter, ces trois restos véganes de Vancouver nous accordent une pause bien méritée en nous mettant littéralement l’eau à la bouche. Asseyez-vous et dégustez!
La scène gastronomique torontoise est multiple, ouverte sur le monde et empreinte de diversité tous azimuts. Les restos de la Ville Reine ont tout pour plaire au plus grand nombre: tantôt classiques, tantôt branchés, leur service est empressé et leurs menus, inspirés. Et comme les Torontois aiment les produits sains, frais et succulents, nombreuses sont les tables végétariennes et véganes à faire saliver. En voici 3!
Situé sur la très branchée Queen Street West, ce resto bar est convivial à souhait. On le fréquente entre autres à l’heure de l’apéro, pour boire un verre entre copains en se mettant sous la dent de succulents tapas véganes. C’est aussi une excellente adresse de brunch, qu’on propose d’ailleurs à la clientèle toute la journée durant. Les bibimbaps, burgers, sandwichs et salades y sont tout simplement délicieux! Et la carte de cocktails d’Hello 123 vaut à elle seule le détour. Elle regorge de créations santé inusitées, à base notamment de jus purs et de kombucha. Les bols, les plats, les infusions et les boissons concoctés dans cet établissement végane sont en soi des œuvres culinaires, tellement leur esthétique est soignée, colorée et peaufinée. C’est simple, mais pimpant, de bon goût et appétissant.
Nostalgique des escapades dans les Sud? Il suffit de pousser la porte de Planta, ce restaurant végane de Yorkville au décor verdoyant, pour voir nos sens transportés sur-le-champ à South Beach! Le resto, qui compte des adresses à Miami et à Toronto. Il a fait de la cuisine à base de plantes sa spécialité. Ce qu’on y déguste est sain, sensé et sans égal. Le chef David Lee s’approvisionne auprès de fournisseurs dont les pratiques sont éthiques, soucieuses de l’environnement et tournées vers le développement durable. Petits fours aux choux fleur, champignons cuits façon poulet frit, pâtes aux légumes, pizzas végé, salade Habibi et glaces véganes ne sont qu’un savoureux échantillon du menu, qu’on peut prendre pour emporter!
On dénombre à ce jour six adresses Fresh, disséminées aux quatre coins de la Ville Reine. Et chez nos voisins du Sud, on en compte aussi une sur Sunset Boulevard, à Los Angeles. Pionnier sur la scène culinaire végane, Fresh a fait ses débuts à Toronto en 1999. Sa mission: prouver, hors de tout doute, que l’alimentation végane peut être satisfaisante, énergisante et appétissante. Faits d’ingrédients naturels, frais et entiers, les créations Fresh donnent l’eau à la bouche aux véganes affranchis comme au non-initiés. Cocktails artisanaux, jus bios pressés à froid, plats crus et mets gargantuesques (des tartines aux poutines, en passant par les tacos, les wraps et les salades) ravissent les plus fins palais. Et les quelques murs végétaux, qui égaient çà et là la déco des restos, sont hallucinants tellement ils sont luxuriants. Beau et bon!
Même si on adore cuisiner des recettes végé et qu’on est fan des produits GUSTA vendus en épiceries partout au Canada, il nous arrive d’avoir envie d’accrocher notre tablier, l’instant d’un lunch, d’un brunch ou d’un souper. Ces restos torontois charment nos papilles, tout en nous faisant vivre un savoureux moment.
Se retrouver en couple, en famille ou entre amis, au terme d’une semaine chargée, pour papoter en sirotant un verre de rosé… Avouons que c’est un des grands bonheurs de l’été! Et si on faisait durer le plaisir en servant aussi, sur la terrasse, des tapas et hors-d’œuvre véganes? Voici donc nos suggestions de bouchées simples et succulentes, pour faire rimer 5 à 7 d’été avec convivialité. Santé!
Envie d’un sympathique gueuleton? Vivement 3-4 plats servis en petites portions! Pas de lourd décorum ni de longs moments en cuisine: on n’a qu’à préparer nos bouchées d’avance puis à les poser sur la table sitôt que le vin est débouché (ou la bière décapsulée). Les tapas s’attrapent du bout des doigts, donc pas trop de vaisselle à nettoyer ensuite. Et aussi bons chauds que tiédis, on peut se les mettre sous la dent à tout moment et profiter ainsi non stop de l’heureuse compagnie de nos convives. Pssitt: si on leur sert les scones salés véganes The Edgy Vedge, ils n’en feront qu’une bouchée, parole de GUSTA!
Summum du succulent, le gratin – sous toutes ses formes – plaît aux petits comme aux grands. Tandis qu’en le dégustant, les uns poussent des « miam » de délice, les autres s’en pourlèchent littéralement les babines. On profite donc du 5 à 7 pour faire découvrir à nos convives les différents fauxmages GUSTA. Servi en mini bouchées, le Grilled Cheese Gugu leur permettra de se mettre sous la dent l’Original et l’Americano, alors que la Mini omelette de pois chiches de Liv B les fera tomber sous le charme du Swisso. Coups de foudre gustatifs garantis!
Le fin du fin, ça reste le feuilleté. Sucré ou salé, il plaît aux fines bouches, car il permet de se régaler sans même se salir les doigts! Sachant qu’il existe plusieurs variétés de pâtes feuilletées véganes, pourquoi bouder son plaisir? Dans cette recette de Feuilletés aux champignons, la saucisse hachée Germaine GUSTA fait très bonne figure. Alors qu’enrobée de pâte à croissants végane réfrigérée, la saucisse Brunch GUSTA, elle, n’a jamais eu aussi fière allure! De quoi donner un petit air aristocrate à nos apéros…
Avec les saucisses, rôtis de seitan et fauxmages GUSTA, préparer des bouchées véganes délicieuses et variées se fait quasiment en un claquement de doigts. On a qu’à s’approvisionner dans les plus grandes enseignes d’épicerie au Canada, à s’inspirer dans la section recettes du présent site web puis à convier nos invités. Place à la fête, à la bonne franquette et sans prise de tête. À la nôtre!
Qui dit été pense aussitôt à fraîcheur et légèreté. Car dès que le soleil plombe et que le mercure grimpe, avouons-le, notre appétit pour les plats copieux fond comme neige au soleil. La solution de saison? Les salades d’été maison, pour casser la croûte en misant sur des ingrédients santé, rafraîchissants et colorés. Pas très inspiré? Voici quelques idées originales pour donner plus de punch à vos recettes de salades.
Prendre le large sans passeport ni bagage? C’est possible. Direction le portager, le frigo et le garde-manger de la cuisine! En jumelant, par exemple, quelques feuilles de laitue à des morceaux de saucisse Italiana de GUSTA, on fait escale à Napoli le midi. Et le soir venu, on laisse nos papilles voguer jusqu’à Santorini, en Grèce, en se préparant la recette de salade méditerranéenne. Il suffit souvent d’un ou deux ingrédients originaux, pour dépayser vite fait nos dîners comme nos soupers.
Été rime avec caliente. Alors, pourquoi ne pas en profiter pour donner un coup de calor à une notre salade préférée? Surtout que c’est simple comme bonjour: on n’a qu’à la rehausser d’herbes, d’aromates ou d’épices. Un bouquet de persil par-ci et une pincée d’épices par-là, comme dans cette succulente recette de salade tiède à la cajun, signée La Fraîche. C’est coloré et ça donne illico du pep au moral comme à l’assiette!
Buddha, poke… Les bols individuels sont à la mode. Et pour cause! Vitaminés et variés, ce sont de purs concentrés de fraîcheur… et de bonheur! D’autant que les ingrédients qu’on peut y intégrer n’ont de limites que celles de notre imagination. Un combo sucré-salé? C’est oui! Un mix de légumes, de graines et de fruits? Encore oui! Des protéines tièdes jumelées à des ingrédients frais, comme dans ce bol coréen Oui, oui et re-oui! Car le bol, c’est la salade repas 2.0: ça rassasie et ça rafraîchit.
Réinventer ses salades n’a rien de sorcier: pour y arriver, ça prend un brin d’imagination… et quelques bons filons! Envie de partager les vôtres avec la communauté GUSTA? Proposez-nous vos suggestions de recettes véganes originales. À nous tous, pas de doute: on bouillonnera d’idées et on confondra les sceptiques en leur prouvant que les salades sont tout sauf plates!
Le terme véganisme est sur toutes les lèvres. Mais en connaît-on vraiment la mission, la portée et la vocation? Petit tour d’horizon de sa signification et des convictions de ceux qui y adhèrent. Parce que le véganisme est bien plus qu’un concept à la mode: c’est un mode de vie consciencieux et réfléchi.
Le véganisme – aussi connu sous le nom de végétalisme intégral – est une extension du végétarisme. Son leitmotiv est clair: dès que l’humain vit sans exploiter les animaux, et ce, de quelque façon que ce soit, c’est toute la planète qui en récolte les fruits. Ainsi donc, quand on est végane, on n’avale aucun produit issu des animaux et de leur exploitation (poissons, viandes, insectes, œufs, miel, produits laitiers…). Et le contenu de notre assiette reste somme toute appétissant, coloré et nourrissant!
Mais le véganisme est plus qu’une simple pratique alimentaire. C’est une philosophie de vie ancrée sur des convictions éthiques, sanitaires et environnementales. Et celles-ci dictent l’ensemble des comportements d’achat véganes. En clair: en plus de n’ingérer aucun aliment animal, le végane étend ses convictions aux autres sphères de sa vie (mode, déco, etc.). Et puisqu’il décrie l’exploitation et la cruauté animale, il va de soi qu’il ne s’habille, ne se soigne ou ne s’entoure d’aucun produit issu ou testé sur les animaux. On a qu’à penser aux sacs, blousons ou chaussures en cuir, aux manteaux de fourrure, aux pulls, bonnets et écharpes de laine, ou encore aux chemises, robes, foulards et cravates en soie. Exit aussi les cosmétiques et médicaments composés de sous-produits animaliers et testés sur les animaux.
Un végane se refuse à ce que tout être vivant soit victime de mauvais traitement. De fait, en s’ancrant sur l’empathie et la compassion animale, le véganisme célèbre la vie terrestre sous toutes ses formes, et ce, depuis plusieurs décennies déjà (car la Vegan Society a vu le jour en 1944). Pas étonnant que des tas de célébrités – répertoriées dans un de nos précédents articles – adhèrent au mode de vie végane.
Les prises de conscience éthiques et environnementales, de même que l’envie marquée de consommer des produits locaux et sains, conduisent de plus en plus de gens à opter pour le véganisme. Si, comme les 2,3 % de Canadiens qui se déclarent végétaliens, vous avez envie de vous mettre sous la dent des aliments véganes goûteux et sains, faits au Canada, repérez les saucisses, fauxmages et rôtis GUSTA, en épiceries. Et consultez nos recettes pour les apprêter de mille et une façons succulentes.
Il n’y a pas que les athlètes qui peuvent tirer profit des protéines! Ces macromolécules biologiques, composées de chaînes d’acides aminés, permettent au corps humain de se muscler, en plus de venir en renfort de la peau, des organes internes (cœur et cerveau en tête), des yeux, des cheveux, des ongles. Notre système immunitaire a également besoin de protéines pour fabriquer les anticorps nécessaires à la lutte aux infections. Sans parler qu’elles jouent également un rôle dans la régulation de l’indice glycémique, dans la métabolisation des gras et dans la stimulation de la fonction énergétique.
Les protéines sont donc essentielles à tout le monde!
Au minimum, un adulte a besoin de consommer 0,8 g de protéines par kilo de poids corporel. Cet apport quotidien nécessaire augmente bien sûr chez les sportifs et les personnes très actives. Et bonne nouvelle: pas nécessaire de manger de la viande rouge pour protéiner notre corps comme il se doit! Il est possible d’opter pour une alimentation à base de plantes ET combler du même coup tous nos besoins quotidiens en protéines.
Cela dit, un défi demeure, puisque la plupart des protéines végétales ne sont pas dites “complètes”. Car pour fonctionner à plein régime, le corps humain a besoin quotidiennement de neuf acides aminés essentiels. On les appelle ainsi parce qu’ils ne peuvent pas être synthétisés par l’organisme. Parmi ceux-ci, les végétaliens doivent porter une attention particulière à la méthionine et à la lysine, et veiller à les inclure à tout prix dans leur alimentation quotidienne. Autrement, des carences sont à prévoir.
Mais pourquoi ces deux acides aminés davantage que d’autres? Parce qu’aucune source de protéines végétales n’en contient en assez grande quantité. Ainsi, les produits du blé et le riz regorgent de méthionine, mais pas de lysine. Alors qu’à l’inverse, les légumineuses sont bourrées de lysine, pas de méthionine.
La clé d’une alimentation végétalienne non-carencée, c’est la diversité des apports protéiniques. Ainsi, si on s’assure de combiner quotidiennement des grains et des légumineuses dans notre assiette, on va chercher tous les acides aminés dont on a besoin pour fonctionner à plein.
Saviez-vous que les saucisses et rôtis de seitan GUSTA, faits de protéines de blé, constituent un bonne ration protéinique? À déguster de mille et une façons avec, en accompagnement, quelques légumineuses. Rendez-vous sur notre onglet “recettes” et amusez-vous à vous cuisiner de bons petits plats santé!
GUSTA est fière d’appuyer les athlètes d’ici. C’est donc tout naturellement qu’est né le partenariat avec Cendrine Browne. Fondeuse Olympique Canadienne, végétarienne depuis 1 an et nouvellement végane, elle porte fièrement nos couleurs depuis novembre dernier.
Jeune, dynamique et talentueuse, elle vous présente aujourd’hui sa recette de raviolis véganes mettant en vedette nos saucisses.
« Voilà quelques mois que mon partenariat a commencé avec GUSTA et déjà, je suis en amour avec leurs produits et leurs valeurs. Je suis si heureuse de pouvoir représenter une compagnie avec qui je partage autant. De plus, grâce à leurs produits, être végétalienne n’aura jamais été aussi facile!
Cendrine Browne
J’ai voulu créer une recette qui est facilement personnalisable et pour laquelle on peut utiliser ce qu’on a sous la main. Cette recette est facile et est aussi un beau projet à faire avec les enfants durant la quarantaine! »
http://cendrinebrowne.mli.st/
Pour cette recette, utilisez ce que vous avez sous la main et soyez créatifs!
On a parfois l’impression d’être bien seul lorsqu’on est végane… Soupers de famille, sorties entre amis au resto, ou 5 à 7 entre collègues sont autant de moments où l’on est scruté à la loupe et bombardé de questions sur nos habitudes alimentaires. Heureusement, beaucoup de célébrités sont des véganes convaincus! Ils profitent de leur renommée pour diffuser un message inspirant sur l’alimentation et le mode de vie qu’ils ont choisis. Voici donc un échantillonnage de 10 célébrités véganes avouées. Qui sait: vous serez peut-être étonnés…
Billie Eilish a grandi au sein d’une famille végétarienne, dans le quartier de Highland Park, à Los Angeles. C’est en 2014 qu’elle pousse plus loin la réflexion et décide de faire le saut vers le véganisme. La jeune chanteuse a même imaginé, en collaboration avec UberEats, un circuit routier jalonné d’arrêts à chacun de ses restaurants véganes préférés aux États-Unis. Quelques exemples? ATX Food Co., à Austin; Café Gratitude, à Los Angeles; Love Life Café, à Miami; et By Chloe, à New York.
Le célèbre culturiste, acteur et politicien Arnold Schwarzenegger a fait une transition vers un régime quasi totalement végane. Son frigo regorge de lait d’amande et de sources de protéines végétales. Il dénonce le mythe selon lequel les athlètes de haut calibre ont à tout prix besoin de consommer de la viande rouge pour bien performer, prenant même activement part au film documentaire The Game Changers, traitant de la question.
Miley Cyrus est végane depuis 2014. Au-delà de ce qu’elle se met sous la dent, elle prône un mode de vie végétalien et, plus particulièrement, une garde-robe végétalienne. Elle préconise l’achat vintage et les vêtements confectionnés à partir d’étoffes éco-responsables. Elle collabore même avec ses designers préférés (Louis Vuitton, Saint Laurent, Vivienne Westwood, Stella McCartney) pour imaginer des looks exempts de toute cruauté animale.
L’acteur Peter Dinklage a suivi un régime végétalien pendant 15 ans avant de prendre un virage végane à 100 % en 2014. La viande qu’on le voit manger dans certaines scènes de l’émission Game of Thrones est en fait… du tofu! Il est aussi engagé dans la cause végane au sens large, prêtant sa voix à la narration de la vidéo Face Your Food, réalisée par des activistes de PETA.
La mannequin et actrice Pamela Anderson est sans doute l’une des activistes véganes les plus connues. Au fil des années, elle s’est fait remarquer pour ses collaborations musclées, qui sont loin d’être passées inaperçues, avec l’organisme de droit animalier PETA. Souvenez-vous de la campagne “I’d rather be naked than wear fur”, à laquelle elle a activement pris part et qui a fait beaucoup jaser…
La star de la série anglaise Sherlock s’est confiée sur son régime végane lors de trois différentes entrevues accordées dans le cadre de sa tournée de presse pour promouvoir le film Avengers: Infinity War, en 2018. Pas de doute: il est un végane confirmé et convaincu!
La tenniswoman Venus Williams a embrassé le véganisme après avoir reçu un diagnostic de maladie auto-immune: le syndrome de Sjögren. Pour la soulager, son médecin lui a alors conseillé d’adopter une alimentation crue et végane. Elle y adhère depuis avec beaucoup d’enthousiasme, afin de maintenir ses solides performances sur les courts de tennis. Notons par contre qu’elle a laissé tomber l’alimentation crue, mais suit toujours une diète à base de plantes.
Zac Efron, chouchou de toute une génération, s’est confié au magazine Teen Vogue en 2018 à propos de son régime végane. Selon ses dires, l’alimentation végane a complètement changé son fonctionnement corporel et la métabolisation des aliments qu’il ingère. Il soutient avoir gagné en énergie, avouant aussi que son sommeil est désormais de meilleure qualité. Ce virage alimentaire aurait également eu un impact positif sur son entraînement en salle de gym. Tiens donc…
Natalie Portman ne mange plus de viande depuis qu’elle a 9 ans. Et en 2011, après avoir lu le livre Eating Animals, de Jonathan Safran Foer, elle a adhéré sur-le-champ au véganisme. Preuve que ce bouquin et ce régime alimentaire lui tiennent à coeur: l’actrice en a co-produit et narré l’adaptation cinématographique!
Lewis Hamilton, champion du monde de Formule 1, a choisi d’adopter un régime végane pour des raisons environnementales. Et depuis, il soutient que sa santé se porte au mieux et qu’il réussit – sans plus manger de viande du tout – à très bien maintenir sa masse musculaire. Il est si convaincu par ce choix de vie qu’il est même devenu actionnaire d’une chaîne de restaurants, à Londres, qui ne sert que des burgers faits de protéines végétales!
On applaudit ces célébrités véganes qui utilisent leur pouvoir d’influence pour plébisciter et faire connaître à large échelle les avantages d’une alimentation végane. Ces stars contribuent à normaliser un mode de vie qui, au final, n’a rien d’étrange et tout de bienveillant.